Justice Paradis, a former judge from Vancouver who does not speak one word of French, told us that when he was on the bench and had to hear cases, minimum mandatory sentences made him uncomfortable.
On s'est fait expliqué par un ancien juge de Vancouver, du nom de Paradis mais qui ne parlait pas un mot de français, que, lorsqu'il était sur le banc et qu'il avait à entendre des causes se rapportant à la justice, les peines minimales obligatoires le rendaient mal à l'aise.