Various foreign observers also expressed their surprise that a country as rich as Canada, which is not immune to psychoactive substance-related problems, did not have a “champion”, a spokesperson or a figure of authority able to fully grasp the real issues and obtain genuine cooperation from all of the stakeholders.
Divers observateurs étrangers nous ont aussi souligné leur étonnement que le Canada, pays riche et qui n’est pas à l’abri des problématiques reliées aux substances psychoactives, n’ait pas un « champion », un porte-parole, une figure d’autorité capable de maîtriser les enjeux réels en même temps que d’obtenir une véritable concertation entre les acteurs.