In a world where, for purposes of communication, borders now hardly exist, how can we be sure that Canadians will have access to news and information from this country's perspective, seen through Canadian eyes, and that these Canadian stories will not be drowned out by voices from the rest of the world, particularly from our southern neighbour?
Dans un monde où, aux fins des communications, les frontières n'existent guère plus, comment pouvons-nous avoir l'assurance que les Canadiens auront accès à de l'information dans la perspective de notre pays, dans l'optique canadienne, et que les reportages canadiens ne seront pas submergés par ceux du reste du monde, notamment ceux de nos voisins du Sud?