Given that there's no timeline in the certificate process, is there some risk that you could have somebody facing revocation for a war crime of some 50 years ago and a certificate might be issued based on intelligence received from, say, the former Soviet Union or one of the other countries that might still regard that type of information as secure?
Étant donné qu'il n'y a pas de délai fixé pour le processus de délivrance du certificat, y a-t-il des chances de voir une personne faire face à une révocation pour un crime de guerre commis il y a une cinquantaine d'années et de voir un certificat être délivré à partir de renseignements fournis, disons, par exemple, par l'ex-Union soviétique ou par l'un ou l'autre des autres pays qui pourraient encore considérer ce genre de renseignement comme protégé?