To conclude, if you find that there is no breach of privilege, as proposed by Senator Kenny, then obviously chairs of committees can, on their own, decide whether official languages can be respected or not respected.
Pour terminer, je dirais que, si vous arrivez à la conclusion qu'il n'y a pas eu violation de privilège et que vous donnez ainsi raison au sénateur Kenny, on n'aura manifestement d'autre choix que de conclure que les présidents de comité ont le droit de décider du respect ou du non-respect des langues officielles.