The issue goes back into Canadian naval culture, whereby that navy has always been a foreign policy navy — a blue water navy, if you wish — and the coastal chores have always been seen as secondary obligations.
C'est exactement ainsi que les choses se passent. Le phénomène s'explique par la culture navale canadienne, en vertu de laquelle la Marine a toujours été au service de la politique étrangère — il s'agit, si vous le voulez, d'une Marine hauturière —, tandis que les tâches côtières ont toujours été considérées comme des obligations secondaires.