My personal understanding of the Official Languages Act and the principle of linguistic equality that is enshrined therein and reflected in sections 16 to 23 of the Constitution of Canada is that this was a strict obligation, meaning that the Auditor General himself had to be proficient in both official languages.
Ma lecture et ma compréhension de la Loi sur les langues officielles, et le principe d'égalité linguistique qui y est enchâssé et qui est reflété aux articles 16 à 23 de la Constitution du Canada, m'amenaient personnellement à conclure que cette obligation était stricte, c'est-à-dire que le vérificateur général lui-même devait maîtriser les deux langues officielles.