Along the same lines, during the Symposium on Language of Work, which took place in New Brunswick in early November, Minister Robillard repeated the government's desire and commitment by sending a clear message to managers who will not be able to meet the language requirements of their positions by March 31, 2003, which is the deadline.
Dans la même veine, lors du Colloque sur la langue du travail qui s'est déroulé au Nouveau-Brunswick au début novembre, la ministre Robillard a réitéré la volonté et l'engagement du gouvernement en lançant un message clair aux gestionnaires qui ne pourront satisfaire aux exigences linguistiques de leur poste le 31 mars 2003, qui est la date butoir.