One of the main challenges facing French-Canadian publishers—please excuse me for excluding Quebec when I use the qualifier “French Canadian”, but I am doing this to make things simpler—, in the Canadian publishing industry, is that many of the issues pertaining to books distribution are being discussed to great depth and reviewed by committees in Quebec and that, by definition, we don't have any say.
Un des grands défis des éditeurs canadiens-français—veuillez me pardonner d'utiliser le qualificatif «canadiens-français» en excluant le Québec, mais je le fais à des fins de simplification—dans le cas de l'industrie de l'édition canadienne, c'est que de nombreuses questions qui touchent la distribution du livre font l'objet de grandes discussions et de commissions d'étude au Québec et que, par définition, nous n'avons pas alors le droit de parole.