It was the cancellation of that program in 1986 that drove Jacques to begin a 21-day hunger strike outside the Senate in order to draw attention not just to the death of Katimavik but also to the plight of young Canadians in a changing workplace and enduring global economic pressures.
C'est à la suite de l'annulation de ce programme, en 1986, que Jacques a entrepris une grève de la faim de 21 jours à l'extérieur du Sénat, pour attirer l'attention sur la fin du programme Katimavik, certes, mais aussi sur la situation très difficile des jeunes Canadiens obligés de se tailler une place dans un marché du travail en évolution tout en subissant les pressions économiques mondiales.