Les autorités espagnoles ont toutefois montré à suffisance que cette solution aurait été peu rentable: la saisie d’actifs matériels n’avait pas de valeur réelle, puisqu’une hypothèque antérieure en faveur de l’organisme public RUMASA avait préséance. Il est raisonnable de souscrire au point de vue des autorit
és espagnoles selon lequel l’exécution éventuelle des actifs immatériels aurait été incertaine, compte tenu de la nécessaire dépendance, selon la légis
lation espagnole, d’acheteurs potentiels, pour lesquels la valeur des actifs, u
...[+++]ne fois séparés du nom de l’entreprise, serait très restreinte, voire nulle.