Un montant égal à trois cinquièmes des dépenses supplémentaires pour le régime des vacances annuelles des tra
vailleurs salariés, suite à l'application de l'arrêté royal du 19 novembre 1999 visant à assimiler les journées d'interruption de travail résultant du chômage temporaire pour force majeure dû à la crise de la dioxine, dans le régime des vacances annuelles des travailleurs manuels salariés, est versé,
à charge du budget 2000 du ministère des Affaires sociales, de la Santé publique et de l'Environnement allocation de base 52 33
...[+++] 42 08 , à l'Office national des Vacances annuelles.