Cette donnée, combinée au fait que le service a entre-temps fait l'objet d'un audit, m'amène à la conclusion qu'il vaudrait mieux mener un jour un débat parlementaire, en toute franchise, après que le rapport Erdal aura été mis à la disposition du Comité R,
par exemple d'abord dans la Commission chargée de l'accompagnement du Comité permanent de contrôle des services de renseignement et de sécurit
é et peut-être plus tard dans les commissions concernées, et pourquoi pas au parlement même, sur la question de savoir ce que nous voulons f
...[+++]aire, à brève et à plus longue échéance, des services de renseignement.