Alors que nos propositions de conclure un accord sur l'encouragement et la protection réciproques des investissements s'étaient, jusque là, heurtées à une fin de non-recevoir, le Gouvernement algérien se déclarait, en 1990, disposé
à examiner les clauses du projet d'accord qui lui avait été soumis au nom de l'U.E.B.L. Ceci, compte tenu des réformes économiques en cours et des nouvelles dispositions législatives et réglementaires édictées en la matière, tendant à stimuler tant les investissements étrangers en Algérie que les investissements d'opérateurs algériens à l'étranger et dont l'objectif final est de parvenir progressivement à la m
...[+++]ise en place d'une économie de marché.