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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «vous dire tout le monde a sa vision » (Français → Néerlandais) :
Je ne crois pas -- alors, ceci est une vision du monde, et je vais vous dire, tout le monde a sa vision du monde.
Ik geloof niet -- en dit is een kijk op de wereld, en volgens mij heeft iedereen een wereldbeeld.
Le point essentiel était l'empathie parce que tout le monde dans sa vie attend qu'on lui pose des questions, pour pouvoir être sincère sur qui on est vraiment et comment on est devenu ce qu'on est et je vous le recommande, même si vous ne faites pas d'interviews.
De sleutel was inlevingsvermogen want iedereen wacht in zijn leven eigenlijk op mensen die vragen stellen, zodat ze eerlijk kunnen zijn over wie ze zijn en hoe ze geworden zijn wat ze zijn, en dat raad ik je aan, zelfs als je geen interviews doet.
Mais au fur et à mesure de leur collaboration, quelque chose commence à changer, et finalement, dans « Les Six Napoléons », lorsque Holmes arrive et éblouit tout le monde avec sa solution, Lestrade se tourne vers lui, et lui dit : « Nous ne sommes pas jaloux de vous, M. Holmes,.
Maar tijdens de samenwerking verandert er iets. Later, in 'The Adventure of the Six Napoleons', komt Holmes binnen en verbluft hij iedereen met z'n oplossing. Lestrade richt zit tot Holmes en zegt: We zijn niet jaloers op je, Mr. Holmes.
Ils ont fini par dormir des heures. Mais je dois vous dire -- tout le monde demande toujours : Qu'est-il arrivé au bébé babouin ? Il est mort. Nous soupçonnons que c'était à cause des nuits glaciales d'hiver.
Uiteindelijk sliepen ze urenlang. Maar ik moet jullie wel vertellen -- iedereen vraagt altijd, Wat gebeurde er met het babybaviaantje? Het ging dood. We vermoeden dat dat door de koude winternachten kwam.
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont
humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et
...[+++]puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door
deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Donnez-moi le contexte. Ça me donne le squelette de l'ensemble de ce que vous allez faire. Ça
me permet de relier tout le reste à quelque chose que vous m'avez déjà dit. Donc nous y voilà, conduisez-moi, montrez-moi qui est dans votre équipe. Ça aide si vous avez déjà une expérience et si vous avez déjà fait ce genre de choses avant. Je veux connaître le marché, la taille du marché. Pourquoi est-il intéressant d'aller sur ce marché? Je veux connaître votre produit, et c'est très important. Attention, ce n'est pas un pitch produit, ni un pitch de vente. Je ne veux pas connaître tous les tenants et aboutissants, et tout le toutim, etc. Je
...[+++]veux simplement savoir: qu'est-ce que c'est? Si c'est un site web, montrez-moi une copie d'écran. Surtout ne faites pas de démo en direct. Non, jamais de démo en direct. Faites quelque chose qui me permette de savoir pourquoi les gens vont acheter ce que vous avez à vendre. Ensuite je veux savoir, maintenant que je sais ce que vous vendez, dites-moi comment vous allez gagner de l'argent. Pour chaque X que vous vendez, vous avez Y, vous assurez le service de Z. Je veux savoir quel est le modèle économique au niveau unitaire, ou pour le produit réel que vous vendez. Je veux savoir à qui vous vendez ça, en termes de clients. Je veux savoir si vous avez des contacts qui vont particulièrement vous aider. Est-ce que vous avez des contacts dans la distribution, est-ce que vous avez un contact pour la production. Ou, une fois de plus, la validation. Ça aide de dire que vous n'êtes pas tout seul. Mais tout le monde a des concurrents. Une société sans concurrence, ça n'a jamais existé. Même si la concurrence est une manière un peu passée, je veux savoir exactement qui sont vos concurrents, et ça m'aidera à évaluer comment vous pouvez vous intégrer là-dedans. Mais je veux aussi savoir en quoi vous êtes unique. Si je sais ce que font vos concurrents, comment allez-vous éviter que vos concurrents mangent votre part du gâteau? Tout cela est lié au ...
Het vertelt me de context. Het geeft me de armatuur voor de rest van je verhaal. Zo kan ik alles relateren aan iets dat je me al verteld hebt. Dus dan stel je me je managementteam voor. Het helpt als je ervaring hebt. Dan de grootte van de
markt. Waarom moet deze markt aangeboord worden? Ik wil je product kennen, dat is erg belangrijk. Nu is dit geen verkoop-pitch. Ik hoef niet alle kleine details te weten. Ik wil weten: wat is het? Als het een website is, laat je een screenshot zien. Doe geen live demonstratie. Nooit doen! Een opgenomen demonstra
tie, of iets dat me toont waarom me ...[+++]nsen datgene gaan kopen. Dan wil ik weten -- nu ik weet wat je verkoopt -- hoe ga je er geld aan verdienen? Voor iedere verkochte X krijg je Y, lever je dienst Z. Ik wil weten wat het bedrijfsmodel is op stuks-basis, voor het werkelijke product dat jij verkoopt. Ik wil weten aan wie je dit verkoopt, welke klanten. Ook wil ik weten of je relaties hebt die jou gaan helpen. Of je een distributieovereenkomst hebt met iemand, of een productie-partner... Validatie. Dit toont aan dat je groter bent dan slechts dit kleine ding hier. Iedereen heeft echter concurrentie. Er is nooit een bedrijf geweest dat geen concurrentie had. Zelfs als het de oude manier van doen is. Ik wil exact weten wat jouw concurrentie is. Dan kan ik beoordelen hoe je in deze hele operatie past. Dan wil ik weten waarom jij speciaal bent. Als ik weet wat je concurrentie doet, hoe ga je voorkomen dat zij de kaas van je brood eten? Dit alles leidt naar het financiële overzicht. Je kunt niet pitchen aan een durfkapitalist zonder je financiën te tonen. Ik wil een jaar of twee terugkijken, of zolang je al actief bent. En ik wil drie of vier of vijf jaar vooruitkijken. Vijf is wat veel. Vier is waarschijnlijk redelijk. En hoe gaat het bedrijfsmodel dat je toonde op product-basis, vertaald worden in een bedrijfsmodel. Hoeveel widgets ga je verkopen? Je verdient bedrag X per widget. Ik wil weten wat de drijver is. We gaan dit jaar 100 ...Mes collégues d'Independent Diplomat et moi sommes allés voir le Conseil de Sécurité de l'ONU. Nous sommes allés rencontrés quelques 70 Etats membres -- les Kazakhes, les Ethiopiens, les Israeliens -- tous ceux que vous voulez, nous sommes allés les voir -- le Secrétaire général, tous, et nous avons di
t : ça ne va pas du tout. C'est vraiment dommage de ne pas consulter ces peuples qui sont les premiers concernés. Vous devez mettre en place un système dans lequel vous invitez effectivement les Kosovars à
venir s'exprimer et dire ce qu'ils pensent. ...[+++]Cela vous permettra de me dire -- vous pourrez leur dire ce que vous pensez. Ce sera bien. Vous pourrez échanger. Vous pourrez tenir compte des points de vue de ces peuples dans vos décisions, ce qui rendra vos décisions plus efficaces et durables. Hyper-logique, pensez vous. Je veux dire, une logique implacable. Si évidente, n'importe qui peut comprendre ça. Et bien sûr, tout le monde l'a compris. Tout le monde a dit Oui, bien sûr, vous avez raison.
Mijn collega's en ik bij Independ
ent Diplomat gingen rond bij de VN-Veiligheidsraad. We gingen langs 70 VN-lidstaten -- De Kazakken, de Ethiopiërs, de Israëlieten -- noem maar op, we gingen bij hen langs -- de secretaris-generaal, iedereen, en zeiden: Dit is helemaal verkeerd. Het is verschrikkelijk dat je de mensen die worden beïnvloed,
niet raadpleegt. Je moet een systeem institutionaliseren waarin je je de Kosovaren uitnodigt om je te vertellen wat ze erover denken. Dit geeft je de mogelijkheid om me te vertellen -- je kan hen vert
...[+++]ellen wat je denkt. Dat wordt fantastisch. Je kan een uitwisseling hebben. Je kan de meningen van deze mensen in je beslissingen verwerken, hetgeen betekent dat je beslissingen doeltreffender en duurzamer zullen zijn. Superlogisch zou je denken. Ongelofelijk logisch bedoel ik. Zo voor de hand liggend, iedereen zou het kunnen. En natuurlijk snapte iedereen het. Iedereen zei: Ja natuurlijk, je hebt helemaal gelijk.Au Burundi je s
uis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je su
is allée trouver le directeur de la prison, ...[+++]j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a dit : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was gee
n baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei: “We
...[+++]kunnen erover praten, maar kijk naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ... Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le
général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar
. Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Voilà ce qui est arrivé à cette entreprise. [Entreprise cédée à Facebook, 18 juin 2012...] Il y a d'autres entreprises qui placent des appareils photo, comme celui-ci -- qui n'a aucun lien avec Facebook -- qui prennent une photo de vous, la relient aux réseaux sociaux, se rendent compte que vous aimez vraime
nt porter des robes noires, afin qu'un vendeur dans un magasin puisse venir vous voir et dire : « Hé, nous avons cinq robes noires qui vous iraient parfaitement ! » Et si Andy avait tort ? Voila sa théor
ie. [Dans le futur, tout le monde ...[+++] aura son quart d'heure de célébrité.] Que se passe-t-il si nous inversons cela ? Et si chacun n'avait en fait que 15 minutes d'anonymat ? (Rires) Et bien, peut-être qu'à cause de ces tatouages électroniques, chacun de nous est très proche de l'immortalité, parc
e que ces tatouages vivront beaucoup plus longtemps que nos corps.
Dit gebeurde met dat bedrijf. [Bedrijf verkocht aan Faceboo
k, 18 juni 2012...] Andere bedrijven plaatsen een camera zoals deze --- dit heeft niets te maken met Facebook. Ze nemen je foto, verbinden het aan de sociale media, en ze ontdekken dat je erg houdt van zwarte jurken. Misschien komt de winkelmedewerker naar je toe en zegt, Hee, we hebben vijf zwarte jurken die je heel goed zouden staa
n. Wat als Andy het fout had? Dit is Andy's theorie. [In de toekomst zal iedereen 15 minuten lang wereldberoemd zijn.] Wat als we dit omdraaien? W
...[+++]at als je maar 15 minuten anoniem zal zijn? (Gelach) Vanwege elektronische tatoeages zijn we misschien allemaal heel dicht bij onsterfelijkheid, want deze tatoeages zullen veel langer leven dan onze lichamen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
vous dire tout le monde a sa vision ->
Date index: 2023-11-01