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Vertaling van "très primitifs nous en sommes arrivés à avoir des outils très " (Frans → Nederlands) :
Je pense que c'est notre intelligence collective. C'est notre capacité à écrire des choses, notre language et notre conscience.
A partir de débuts très rudimentaires, avec un jeu d'out
ils de pierres très primitifs, nous en sommes arri
vés à avoir des outils très avancés, dont notre usage a atteint des niveaux totalement inédits. No
us avons envoyé des ...[+++]sondes sur Mars, nous avons cartographié le génome humain, et récemment nous avons même créé de la vie artificielle, grâce a Craig Venter.
Ik denk dat het onze collectieve intelligentie is. Het is onze gave dingen op te schrijven, onze taal en ons bewustzijn. Vanuit een zeer primitief begin, met heel elementair gereedschap van stenen, hebben we nu zeer geavanceerd gereedschap, en ons gereedschapsgebruik heeft echt ongekende hoogtes bereikt. We hebben voertuigen op Mars, het menselijk genoom is in kaart gebracht, en onlangs hebben we zelfs synthetisch leven gecreëerd, dankzij Craig Venter.
Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment e
st qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute
dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois
que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle.
...[+++] Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet door
heen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden
te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Se
rieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond
...[+++]rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. Ik kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Qu'est-ce qui rend le présent, plus particulièrement les bons moments du présent, si difficiles à vivre correctement? Réciproquement, pourquoi tant d'événements semb
lent plus faciles à savourer, à apprécier et à vivre, lorsqu'ils sont résolument terminés? Un des avantages du passé, c'est qu'il est une version éditée et réduite du présent. Même les mei
lleurs jours de nos vies contiennent une série de moments insipides et gênants.
Dans notre ...[+++] mémoire, tels des éditeurs qualifiés d'heures de rushes et souvent de séquences plates, nous verrouillons les moments les plus importants; et par conséquent construisons des séquences qui semblent bien plus significatives et intéressantes que leur cadre d'origine. Des heures de médiocrité peuvent être réduites en cinq ou six images parfaites. La nostalgie est le présent bonifié par le montage. Beaucoup de ce qui détruit le présent est pure anxiété. Le présent contient toujours un nombre important de possibilités, certaines très repoussantes, dont nous sommes toujours conscients. En théorie, tout peut arriver, un séisme, un anévrisme, un rejet - qui donne lieu à une anxiété non spécifique qui nous suit en permanence; le simple effroi face à l'inconnu de ce qui va se produire Mais après, bien sûr, seul un nombre très limité de choses horribles se produisent et nous oublions l'anxiété simultanément (ou plutôt passons à un nouveau présent).
Hoe komt het toch dat we het nu, en vooral de leukste momenten van het heden, zo moeilijk ten volle kunnen ervaren? En waarom, omgekeerd, kunnen we van zo veel gebeurtenissen makkelijker genieten en waarderen als ze echt voorbij zijn? Een voordeel van het verleden is dat het een dramatisch ingekorte versie is van het heden. Zelfs de mooiste dagen van ons leven bestaan uit een serie saaie en ongemakkelijke momenten. Maar in onze herinnering leggen we alleen de meest betekenisvolle momenten vast,
als capabele redacteuren van uren van ruw en vaak niet-inspirerend materiaal. En zo creëren we reeksen die veel betekenisvoller en interessanter
...[+++]voelen dan de situaties waaruit ze voortkwamen. Uren van middelmatigheid worden teruggebracht tot vijf of zes perfecte beelden. Nostalgie is: het heden verrijkt door een redactie-apparaat. Pure angst verwoest veel van het heden. Het heden bevat altijd een enorme hoeveelheid mogelijkheden, sommige geweldig griezelig, waar we ons continu op achtergrond van bewust zijn. In theorie kan er van alles gebeuren, een aardbeving, een slagaderbreuk, een afwijzing - wat leidt tot de vage angst die veel van ons steeds maar voortsleept. De eenvoudige vrees over de onbekendheid van wat komen gaat. Maar natuurlijk gebeuren er uiteindelijk maar heel weinig van die dingen en meteen vergeten we de angst (of we richten die weer op het nieuwe heden).J
A : Yep. Et des gens de confiance. Ce que je v
eux dire, c'est que nous sommes une organisation qu'il est diffici
le de faire grandir très rapidement à cause du type de matériel que nous traitons. Nous devons
restructurer afin d'avoir des gens qui traiteront les sujet
...[+++]s du plus haut niveau de sécurité nationale, et puis les cas de moindre niveau de sécurité. CA : Aidez-nous à vous comprendre, personnellement, et comment vous en êtes arrivé là. Je crois avoir lu qu'enfant vous êtes allé dans 37 écoles différentes.
JA: Yep. Ja, en betrouwbare mensen. Ik bedoel, wij zijn een organisatie waarbij het heel moeilijk is om hard te groeien vanwege de materie waar we mee te maken hebben. Dus we moeten het zo herstructureren dat we mensen hebben die zich bezig houden met het hoogste nationale veiligheid spul, en dan de gevallen met een lager veiligheidsniveau. CA: Probeer ons jou persoonlijk te laten begrijpen en hoe je hiertoe gekomen bent. Ik geloof dat ik gelezen heb dat je als kind naar 37 verschillende scholen bent gegaan.
Il n'y a pas d
e lumière naturelle dans cette caverne, les m
urs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent
voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants
de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animau
x, de plantes et de gens. Par aill ...[+++]eurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abord, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het enige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen rake
n gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de scha
duwdingen en worden ...[+++]trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het overweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ... Nous sommes très heureux d'avoir l'occasion Nous sommes très heureux d'avoir l'occasion d'avoir cet ange dans le monde. Pas seulement dans notre pays, le Venezuela. Dans notre monde.
We zijn heel blij omdat we de kans hebben om deze engel in onze wereld te hebben. Niet alleen in ons land, Venezuela. In onze wereld.
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004,
chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cet
te année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'a
nnée décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Ab
uzaid de dire qu'il ...[+++]avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie
, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het besl
issende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in
...[+++] 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...C'est la deuxième partie du surplus cognitif. Le paysage médiatique du 20e
siècle réussissait très bien à aider les gens à consommer.
Nous sommes devenus, par conséquent, très doués pour consommer. Mais maintenant qu'
on nous a donné des outils médiatiques - Internet, les téléphones portables - qui nous permettent de faire plus que consommer, ce que nous vo
yons, c'est que les gens ...[+++] n'étaient pas vautrés devant la télé parce qu'ils aimaient ça. Nous étions vautrés devant la télé parce que c'était la seule opportunité qui nous était offerte. Nous aimons toujours consommer, bien sûr. Mais il s'avère que nous aimons aussi créer, et nous aimons partager.
Dat is de tweede helft van het cognitieve surplus. Het medialandschap van de 20ste eeuw was erg goed in mensen helpen met consumeren. Het gevolg was dat we erg goed werden in consumeren. Maar nu we mediatools hebben gekregen - het internet, mobiele telefoons - waarmee we meer kunnen doen dan consumeren zien we dat mensen geen TV-verslaafden werden omdat we dat leuk vonden. We werden TV-verslaafden omdat dat de enige kans was die we kregen. We consumeren nog steeds graag, natuurlijk. Maar blijkbaar creëren we ook graag en delen we graag.
Où est-ce qu'on veut que notre monde arrive ? Et vous savez quoi ? Quelle que soit la manière dont on comprend les arts et la science - qu'elles soient séparées ou différentes - les deux sont en train d'être influencés à présent, et les deux ont des problèmes. J'ai exécuté un projet appelé S.E.E.ing the Future : Sciences, Ingénierie et Education, qui considérait comment mettre en lumière un usage plus effectif du financement gouvernemental. Plusieurs scientifiques ont participé, dans différentes étapes de ses carrières. Ils sont venus à la Faculté de Dartmouth, où j'étais professeur, et ils ont parlé avec des théologiens et des financiers à propos des problèmes du financement gouvernemental en ce qui regarde la recherche en science et l'ing
...[+++]énierie. Quelles sont les questions plus importantes ? Quelques idées se sont révélées dont je crois qu'on peut trouver des parallèles très forts dans les arts. La première chose qu'ils ont dit c'était que les circonstances où l'on se trouve aujourd'hui dans la science et les arts, qui ont fait de nous des leaders mondiaux, sont très différentes des circonstances des années 40, 50, 60 et 70, quand nous nous sommes révélés des leaders mondiaux. Car on ne rivalise plus avec le fascisme, avec le communisme à la soviétique, et par ailleurs la compétition n'était que militaire. Il s'agissait aussi d'une compétition sociale, d'une compétition politique, qui nous a permis de regarder l'espace comme un trampoline vers la preuve que notre système social était le meilleur.
Waar willen we heen met de wereld? Weet je wat? Hoe we er ook naar kijken, of we kunst en wetenschap nou zien als gescheiden of verschillend; ze worden beide beïnvloed, en ze hebben beide problemen. Ik heb meegedaan aan het project 'S.E.E.ing the Future'. Hoe ga je effectief om met overheidsbestedingen? Er waren veel wetenschappers in verschillende fases van hun carrière. Ze kwamen naar Darthmouth College, waar ik lesgaf. Ze bespraken met theologen en financiers wat er kwam kijken bij het investeren in wetenschappelijk onderzoek. Wat is daarin belangrijk? Er doken ideeën op die sterke parallellen vertonen met kunst. Ze zeiden dat de omstandigheden waarin we ons momenteel bevinden, met betrekking tot wetenschap en technologie, die ons de we
...[+++]reldleiders hebben gemaakt, anders zijn dan in de jaren 40, 50, 60 en 70, toen we opkwamen als wereldleiders. We hoeven niet meer te concurreren met het fascisme of het Sovjet-communisme. Die concurrentie was trouwens niet alleen militair, maar ook sociaal en politiek, waardoor we de ruimte gingen zien als een platform waarmee we konden aantonen dat ons sociale systeem beter was.Nous sommes sûrement arrivés chacun à cette conference, venant de milieux très très différents, mais croyez-moi, nous partageons une chose incroyablement puissante,
We komen misschien van een heel verschillende achtergrond, maar geloof me, we delen een ongelooflijk krachtig iets --
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
très primitifs nous en sommes arrivés à avoir des outils très ->
Date index: 2022-02-19