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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «sommes rencontrées elle pouvait à peine » (Français → Néerlandais) :
Quand nous nous sommes rencontrées, elle pouvait à peine écrire son nom.
Toen ik haar voor het eerst ontmoette, kon ze nauwelijks haar naam schrijven.
Elle pouvait à peine respirer et elle était bleue.
Ze ademde nauwelijks en was blauw.
Quand nous nous sommes rencontrées, elle avait 20 employés, des femmes pour la plupart, qui envoyaient à l’école leurs garçons et leurs filles.
Toen we elkaar ontmoetten, had ze 20 werknemers, overwegend vrouwen, die hun kinderen naar school konden sturen.
M
ais quand je l'ai rencontrée, elle avait 50 ans et je lui ai dit : « Pens
ez-vous souvent à l'homme qui vous a violée ? » Elle m'a dit : « Avant, j'étais en colère quand je pensais à lui, mais maintenant, c'est juste de la pitié. » Je pensais qu'elle me parlait de p
itié parce qu'il ne pouvait être que retardé pour a
voir fait une chose pareille ...[+++].
Toen ik haar ontmoette, was ze 50. Ik zei tegen haar: “Denkt u vaak aan de man die u verkrachtte?” Ze zei: ”Ik dacht altijd met woede aan hem, maar nu alleen nog met medelijden.” Ik dacht dat ze medelijden bedoelde omdat hij zo achterlijk was om deze verschrikkelijke daad te begaan.
Layla, qui parle couramment Twi, connaît Accra par cœur, mais quand nous nous sommes rencontrées il y a quelques années, j'ai pensé : « Elle ne vient pas du Ghana. » Pour moi, elle venait du Liban, malgré le fait que tout son expérience formatrice ait eu lieu dans la banlieue d'Accra.
Layla, die vloeiend Twi spreekt, kent Accra zoals haar broekzak, maar bij onze eerste ontmoeting, jaren terug, dacht ik: Ze komt niet uit Ghana. In mijn gedachten kwam ze uit Libanon, hoewel het zonneklaar was dat ze al haar vormende ervaring had opgedaan in een buitenwijk van Accra.
Nous nous sommes appelées et l'une des premières choses qu'elle m'a dites était qu'elle ne pouvait imaginer ce que l'on ressentait et que Thomas avait fait le sacrifice ultime. Et qu'elle nous devait quelque chose.
Dus toen belden we en een van de eerste dingen die ze zei, was dat ze zich onze pijn gewoonweg niet kon voorstellen, en dat Thomas zijn leven had gegeven, en dat ze ons veel dank verschuldigd was.
Et alors que nous nous apprêtions à revenir de l'enterrement, les voitures se sont arrêtées à des toilettes pour permettre aux gens de se rafraichir avant le long trajet retour vers la ville. Et la limousine s'est vidée. Ma mère, ma soeur, ma tante, elles sont toutes sorties, mais mon père et moi sommes restés dans la limousine. Et à peine les femmes sorties, il a éclaté en sanglots.
Terwijl we ons klaarmaakten om terug te komen van de begrafenis, stopten de auto's bij de toiletten zodat mensen zich konden opfrissen voor de lange trip terug naar de stad. De limousine geraakt leeg. Mijn moeder, zus, tante, ze stappen uit, maar mijn vader en ik blijven in de limousine. Zodra de vrouwen uit de auto zijn barst hij in tranen uit.
Lo
rsqu'on l'évoque au sein d'un débat, les gens le rejettent aussitôt sous prétexte qu'il n'est pas pertinent. Ils rétorquent : « Dans « 1984 », il y avait des caméras dans les foyers, les gens étaient observés à chaque instant, rien à voir avec le régime de surve
illance auquel nous sommes confrontés.» Ceci est en fait une grossière méprise des avertissements lancés par Orwell dans « 1984 ». Le danger qu'il pointait n'était pas un régime de surveillance qui contrôle tout le monde à tout instant, mais un état où les gens ont conscience
...[+++] qu'ils peuvent être surveillés à tout moment. Voici comment le narrateur d'Orwell, Winston Smith, décrit le système de surveillance auquel il est confronté : « Évidemment, il n'y avait aucun moyen de savoir si, à un moment donné, on était surveillé. » Il continue en disant : « Ils pouvaient nous mettre sur écoute quand ils le voulaient. On devait vivre, on vivait, l'habitude est devenue instinct, en admettant que tout son émis pouvait être entendu et, sauf dans l'obscurité, tout mouvement scruté. » Les religions abrahamiques prêchent, elles aussi, qu'il existe une autorité invisible et omnisciente qui, du fait de son omniscience, observe constamment ce que l'on fait, ce qui signifie que l'on n'a jamais de moment d'intimité : le moyen ultime d'imposer l'obéissance à leurs préceptes.
Als je het vermeldt in een debat over toezicht, wijst men het meteen af als niet-toepasselijk, want in '1984' stonden er monitors in de huizen van de mensen, ze stonden voortdurend onder toezicht, en dat heeft niets te maken met de toe
zichtsstaat die wij kennen. Dat is een fundamentele misvatting over de waarschuwingen van Orwell in '1984'. Die waarschuwing ging over een toezichtsstaat die niet iedereen altijd volgde, maar waarin mensen wisten dat ze altijd konden gevolgd worden. Dit is de beschrijving door Orwell's verteller, Winston Smith, van het toezichtssysteem in kwestie: Je kon natuurlijk niet weten of je op een bepaald moment bek
...[+++]eken werd. Hij gaat verder: Ze konden jouw systeem aanzetten naar eigen goeddunken. Je moest leven, en dat deed je, op basis van een gewoonte die een instinct werd, in de veronderstelling dat elk geluid dat je maakte, afgeluisterd werd en elk moment bekeken, behalve als het donker was. De Abrahamitische godsdiensten poneren op dezelfde manier dat er een onzichtbare, alziende overheid is die in haar alwetendheid altijd ziet wat je doet, waardoor je nooit een privé-moment hebt, wat de ultieme manier is om gehoorzaamheid af te dwingen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
sommes rencontrées elle pouvait à peine ->
Date index: 2023-11-20