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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «place ces rencontres nous-mêmes » (Français → Néerlandais) :
Donc nous avons fait ce constat d'échec évident et nous nous sommes dit, Que pouvons-nous faire ? Et je me suis dit, plutôt crever que de passer le reste de ma vie à faire du lobbying pour ces gouvernements minables pour faire ce qui ce qui doit être fait. Donc ce que nous allons faire est que nous allons en fait mettre en place ces rencontres nous-mêmes. Donc aujourd'hui, Independent Diplomat est impliqué dans la mise en place de rencontres entre le Conseil de Sécurité de l'ONU et les parties prenantes des conflits qui sont à l'ordre du jour du Conseil de Sécurité.
Dus wij keken naar die observatie van in wezen een mislukking en dachten, wat kunnen we hieraan doen? En ik dacht, ik ben gek als ik de rest van mijn leven ga besteden aan het lobbyen voor deze waardeloze overheden om te doen wat nodig is. Dus wat we gaan doen is we gaan deze besprekingen gewoon zelf opzetten. Dus op dit moment is Independent Diplomat bezig met het opzetten van besprekingen tussen de VN-Veiligheidsraad en de partijen verwikkeld in de geschillen die op de agenda van de Veiligheidsraad staan.
Et partout j'ai rencontré le même obstacle : « Nous voulons ça, mais nous en avons besoin dans notre langue. » Voilà ce que nous pensons vouloir faire : Imaginez-vous donner une conférence et être en mesure de parler simultanément aux gens dans leur langue maternelle.
Overal is de drempel: We willen dit, maar we willen het in onze taal. Volgens mij moeten we dit doen: stel je voor dat je een lezing geeft en simultaan met mensen kan praten in hun eigen taal.
Au Burundi je suis entrée dans une prison et ce n'était pas un garçon de 12 ans, c'était un garçon de 8 ans, pour avoir volé un téléphone portable. Ou une femme, j'ai pris son bébé dans les bras, un bébé vraiment mignon, j'ai dit : « Votre bébé est tellement mignon. » Ce n'était pas un bébé, elle avait trois ans. Et elle a dit « Oui, mais c'est à cause d'elle
que je suis ici », parce qu'elle était accusée d'avoir volé deux couches et un fer à repasser pour son bébé et avait pourtant été en prison. Et quand je suis allée trouver le directeur de la prison, j'ai dit : « Vous devez la laisser sortir. Un juge la laisserait sortir. » Et il a d
...[+++]it : « Bon, nous pouvons en parler, mais regardez ma prison. Quatre-vingt pour cent des deux mille personnes qui sont ici sont sans avocat. Que pouvons-nous faire ? » Alors les avocats ont commencé courageusement à se dresser ensemble pour organiser un système où ils peuvent prendre des cas. Mais nous nous sommes rendus compte que ce n'est pas seulement la formation des avocats, mais la connexion des avocats qui fait la différence. Par exemple, au Cambodge, c'est que [nom inaudible] n'y est pas allée seule mais elle avait 24 avocats avec elle qui y sont allés ensemble. Et de la même manière, en Chine, ils me disent toujours : « C'est comme un vent frais dans le désert quand nous pouvons nous réunir. » Ou au Zimbabwe, où je me souviens d'Innocent, après être sorti d'une prison où tout le monde s'est levé et a dit, « Je suis ici depuis un an, huit ans, 12 ans sans avocat », il est venu et nous avons eu une formation ensemble et il dit : « J'ai entendu dire » — parce qu'il avait entendu des gens marmonner et ronchonner — « J’'ai entendu dire que nous ne pouvons pas aider à créer de la justice parce que nous n'avons pas les ressources. » Et puis il dit : « Mais je veux que vous sachiez que le manque de ressources n'est jamais une excuse pour l'injustice. » Et avec cela, il a réussi à organiser 68 avocats qui ont pris systématiquement les ...
In Burundi ontmoette ik in een gevangenis geen 12-jarige, maar een 8-jarige jongen voor het stelen van een mobiele telefoon. Of een vrouw, ik pakte haar baby op, een echt schattige baby en zei: Je baby is zo leuk. Het was geen baby meer, ze was drie jaar. Ze zei: Maar zij is de reden waarom ik hier ben. Ze werd beschuldigd van het stelen van twee luiers en een strijkijzer voor haar baby en zat nog steeds in de gevangenis. Ik ging naar de gevangenisdirecteur en zei: Je moet
haar vrijlaten. Een rechter zou haar vrijlaten.” Hij zei
: “We kunnen erover praten, maar kij ...[+++]k naar mijn gevangenis. Tachtig procent van de tweeduizend mensen hier hebben geen advocaat. Wat kunnen we doen? Advocaten begonnen moedig een systeem te organiseren waar ze zaken konden aannemen. Maar we beseften dat het niet alleen de training van de advocaten, maar de connectie tussen de advocaten was die het verschil uitmaakte. Bijvoorbeeld, in Cambodja lukte het omdat [Onverstaanbare naam] niet alleen ging, maar 24 advocaten haar steunden. Op dezelfde manier vertellen ze me in China altijd: Het is als een frisse wind in de woestijn als we samen kunnen komen.” In Zimbabwe herinner ik me Innocent, die een gevangenis bezocht waar iedereen rechtstond en zei: Ik ben hier al een jaar, acht jaar, 12 jaar zonder advocaat. Hij kwam en we hadden samen een training en hij zei: Ik heb horen zeggen - want hij had mensen horen mopperen - Ik heb horen zeggen dat we geen rechtvaardigheid kunnen creëren omdat we niet over de middelen beschikken.” Toen zei hij: Maar ik wil dat je weet dat het gebrek aan middelen nooit een excuus voor onrecht is.” Daarmee organiseerde hij met succes 68 advocaten die systematisch de zaken aannemen. De sleutel is echter training en vroege toegang. Ik was onlangs in Egypte en werd geïnspireerd door een andere groep advocaten. Ze vertelden me: We hebben geen politie meer op straat. De politie was een van de belangrijkste redenen waarom we in opstand kwamen. Ze waren de hele tijd iedereen aan ...Mais qu'est-ce que j'entends par déclencher nos réflexes sociaux ?
Et bien, l'une des choses que j'ai apprises c'est que, si nous concevons ces robots pour communiquer avec nous en utilisant le même langage corporel, la même sorte de signaux non verbaux que les gens emploient -- comme Nexi, notre robot humanoïde le fait ici -- ce que nous découvrons, c'est que les gens réagissent aux robots d'une façon très similaire à celle avec laquelle ils réagissent aux gens. Les gens emploient ces signaux pour déterminer certaines choses comme : cette personne est-elle convaincante ? Est-elle aimable ? Est-elle attrayante ? Peut-on lui faire confian
...[+++]ce ? Il s'avère que c'est la même chose pour les robots. Il s'avère maintenant que les robots deviennent un nouvel outil scientifique vraiment intéressant pour comprendre le comportement humain. Pour répondre à des questions comme : comment se fait-il qu'à partir d'une brève rencontre, nous puissions évaluer à quel point nous pouvons nous fier à une autre personne ?
Maar wat bedoel ik als ik zeg 'sociaal op ons inspelen'? Eén van de dingen die we geleerd hebben, is dit: als we robots ontwerpen om met ons te communiceren met dezelfde lichaamstaal, en dezelfd
e soort non-verbale reacties die mensen gebruiken -- zoals Nexi, onze humanistiche robot hier doet -- dan zien we mensen vaak reageren op robots zoals ze op mensen reageren. Mensen gebruiken deze indicaties om te bepalen hoe overtuigend iemand is, hoe leuk, hoe sympathiek, en hoe betrouwbaar. Het blijkt dat hetzelfde geldt voor robots. Het blijkt nu dat robots een heel interessant wetenschappelijk werktuig zijn om menselijk gedrag te begrijpen. Om
...[+++] vragen te beantwoorden zoals: hoe komt het dat we, door een korte ontmoeting, kunnen inschatten hoe betrouwbaar de andere persoon is?Et à cette époque d’effondrement éc
onomique, quand les gens vendaient les poupées et les lacets des chaussures et les fenêtres et les portes pour juste survivre, ces femmes-là ont fait la différence entre la survie et la famine pour tant de gens. Je ne pouvais pas oublier cette histoire, ni a
bandonner le sujet, parce que partout où j’all
ais, je rencontrais d’autres femmes comme celles-ci, sans que personnes n’en sache rien, ou ne veuille même le savoir
...[+++]. J’ai continué en Bosnie, et au début de mes interviews, j’ai rencontré un représentant du FMI qui m’a dit : « Vous savez, Gayle, je ne crois pas que nous ayons de femmes d’affaires en Bosnie, mais tout près il y a une femme qui vend du fromage sur le bord de la route. Vous pourriez peut-être l’interviewer. » Je suis donc allé enquêter, et le jour même j’ai rencontré Narcisa Kavazovic, qui à ce moment était en train d’ouvrir une usine sur l’ancien front de guerre, à Sarajevo.
Tijdens de economische ineenstorting toen mensen poppen, veters, ramen en deuren verkochten om te overleven, maakten deze meisjes voor zo velen het verschil tussen overleven en hongersnood. Ik kon het verhaal niet laten liggen. Het onderwer
p dook telkens weer opnieuw op. Overal ontmoette ik meer en meer van deze vrouwen waarvan niemand scheen te weten of wilde weten. Ik ging naar Bosnië, en had een ontmoeting met een IMF-functionaris die zei: Weet je, Gayle, ik denk niet dat er in Bosnië vrouwen in het bedrijfsleven zijn, maar hier in de buurt is er een dame die langs de weg kaas verkoopt. Misschien kun je die wel interviewen. Ik ging op
...[+++] rapportage en binnen een dag ontmoette ik Narcisa Kavazovic die net een nieuwe fabriek opende op de voormalige frontlinies in Sarajevo.Mais je suis également consciente du danger de les fétichiser. Quand le poète e
t mystique, Rumi, a rencontré son compagnon spirituel, Shams-i-Tabriz,
l'une des premières choses que celui-ci a faite fut de jeter les livres de Rumi dans l'eau et de regarder les lettres se dissoudre. Les soufis disent, La connaissance qui ne vous em
mène pas au delà de vous-même est bien pire que l'ignorance. Le problème avec les ghettos culturels d'au
...[+++]jourd'hui n'est pas le manque de connaissances. Nous savons beaucoup de choses sur l'autre, ou nous le croyons. Mais la connaissance qui ne nous emmène pas au delà de vous-même, nous rend élitistes, distants et isolés. Il y a une métaphore que j'aime : vivre comme un compas. Comme vous le savez, une jambe du compas est ancrée dans un lieu.
Maar ik ben mij ook bewust van het gevaar om er fetisjen van te maken. Toen de dichter en mysticus, Rumi, zijn spirituele compaan ontmoette, Shams van Tabriz, was één van diens eerste daden dat hij Rumi's boeken in het water gooide en keek naar de letters die zich oplosten. De Soefi's zeggen: Kennis die je niet verder brengt dan jezelf is veel erger dan onwetendheid. Het probleem van de culturele getto's van vandaag is niet gebrek aan kennis. We weten veel over elkaar, of dat denken we. Maar kennis die ons niet verder brengt dan onszelf maakt ons elitair, afstandelijk en losgekoppeld. Er is een metafoor waar ik van hou: leven als een passer. Zoals je weet is één been van de passer st
atisch, vast op een ...[+++]plaats.Nous avons grandi en jouant de la musique - Maman est du Cap-Breton, comme par hasard. Maman et la mère de Natalie se connaissaient. Nous avons grandi en jouant, et nous avions l'habitude de danser ensemble, oui, c'est vrai. (Rires) Nous avons grandi en jouant tout un tas de... Nous jouions de mémoire, et je pense que c'est import
ant dans notre cas, parce que nous n'étions pas vraiment exposés à beaucoup de différents styles de musique. Nous avons appris à jouer des instruments, mais nous de
vions trouver ça en nous-mêmes, parce que nous ne ...[+++]regardions pas la télévision, nous n'écoutions pas beaucoup la radio. Nous allions à l'église, et à l'école, parfois, travaillions à la ferme, et jouions de la musique, nous avons donc pu, je pense, à un âge très critique, développer notre propre style, notre propre personnalité ; ma mère joue, mon père joue, et le style qui est venu de la vallée d'Ottawa, en Ontario, nous l'appelons le style franco-Canadien, mais il trouve son origine dans les camps de bûcherons. Il y a des années, des centaines d'hommes allaient passer l'hiver dans les camps dans le Nord de l'Ontario et au Québec, et ils étaient tous de cultures différentes, et les irlandais, les français, les écossais, les allemand, ils se rencontraient, et bien sûr, la nuit, ils jouaient aux cartes, et dansaient et jouaient du violon, et au fil de nombreuses années, le style de violon de la vallée d'Ottawa a évolué, et la danse de la vallée d'Ottawa a évolue, alors j'ai en quelque sorte commencé avec ce style, et je me suis vite mis à faire mon propre truc, et puis j'ai rencontré Natalie, et j'ai été exposé au style génial du Cap-Breton.
We groeiden op met muziek spelen -- ma komt toevallig uit Cape Breton. Ma en de moeder van Natalie kenden elkaar. We groeiden op met muziek spelen, en we dansten samen, ja, natuurlijk. (Gelach) We groeiden op en we speelden op het gehoor. Ik denk dat dat belangrijk voor ons was omdat we niet
blootgesteld werden aan veel verschillende muziekstijlen. We leerden de instrumenten te bespelen, maar het moest van binnen komen omdat we geen televisie keken en niet veel naar de radio luisterden. We gingen naar de kerk en soms naar school, we werkten op de boerderij en speelden muziek. Zo waren we in staat om op een erg kritische leeftijd onze eig
...[+++]en stijl te ontwikkelen, ons eigen ik. Mijn moeder speelt, mijn vader speelt, in de stijl die zijn oorsprong heeft in de Ottawavallei in Ontario. Wij noemen het de Frans-Canadese stijl maar het kwam oorspronkelijk uit de houthakkerskampen. Jaren geleden gingen honderden mannen gedurende de winter naar kampen in het noorden van Ontario en in Quebec. Ze kwamen uit verschillende culturen. De Ieren, de Fransen, de Schotten, de Duitsers, ze kwamen allemaal samen, en 's avonds gingen ze kaarten, deden ze aan stepdansen en speelden ze viool. Na velen jaren is de Ottawa Valley-vioolmuziek ontstaan, en ontstond het Ottawa Valley-stepdansen. Dat is hoe ik ongeveer begonnen ben met die stijl. Al snel begon ik mijn eigen ding te doen. Toen ontmoette ik Natalie, en ik kwam in contact met de geweldige Cape Breton vioolmuziek.Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute fa
çon, je préfèrerais encore avoir le ...[+++]paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Az
zam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit lev
...[+++]en zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...L'artiste R. Luke DuBois crée des portraits uniques de présidents, de villes, de lui même et même de Britney Spears en utilisant des données et la personnalité. Dans cette conférence, il partage
neuf projets — des cartes du pays créées en utilisant les informations extraites de mil
lions de profils de rencontres en ligne à un pistolet qui tire à blanc dès qu'une fusillade est signalée en Nouvelle-Orléans. Ce qu'il veut démontrer : notre utilisation de la technologie nous impacte, nous et notre culture, et réduire les autres à des point
...[+++]s de données nous met en péril.
Kunstenaar R. Luke Dubois maakt unieke portretten van presidenten, steden, zichzelf en zelfs Britney Spears door data en persoonlijkheid te gebruiken. In deze talk bespreekt hij negen projecten — van kaarten van het land die hij maakte met gebruik van informatie uit miljoenen datingprofielen, tot een geweer dat elke keer een losse flodder 'afvuurt' wanneer er een schietpartij in New Orleans wordt gemeld. Zijn punt: de manier waarop we technologie gebruiken, zegt iets over ons en onze cultuur, en we reduceren anderen tot data, wat op ons eigen risico is.
Voilà une exposition de camions gigantesques. Je vais vous montrer maintenant le dernier projet. Ce client-ci est également peu usuel. Ils ont complètement inversé les principes de la promotion immobilière.
Lorsqu'ils nous ont rencontrés ils ont dit - à la différence des promoteurs communs - ils ont dit, Nous voulons commencer par l'idée d'offrir un musée d'art contemporain à Louisville. C'est notre objectif principal. Ainsi, au lieu d'agir comme un promoteur qui ne voit que l'occasion de faire de l'argent, ils ont compris qu'ils pourraient jouer le rôle de catalyseur dans leur centre-ville. Et le fait qu'ils voulaient soutenir le musée
...[+++]d'art contemporain a effectivement construit leur pro forma détaillé. Ils ont donc procédé à l'envers. Ce même pro forma nous a menés à construire un bâtiment hybride de taille importante afin de satisfaire leurs aspirations concernant l'art, mais il a aussi créé des occasions pour l'art lui-même de collaborer, interagir, avec des espaces commerciaux; un cadre dans lequel les artistes désirent de plus en plus fréquemment travailler.
Dit is een monstertruck-show. Ik laat nu het laatste project zien. Dit is ook een ongewone klant. Ze hebben het hele idee van ontwikkeling omgekeerd. Ze benaderden ons en zeiden -- in tegenstelling tot normale projectontwikkelaars: We willen van start gaan door een museum voor hedendaagse kunst in Louisville (Kentucky) aan te bieden. Dat is onze ho
ofddoelstelling. In plaats van projectontwikkelaars die een kans zien om geld te verdienen, zagen ze kans om een katalysator te worden in hun stadscentrum. Het feit dat ze het museum voor hedendaagse kunst wilden steunen, was de basis voor hun pro forma dossier, dus werkten ze in tegengestelde
...[+++]richting. Die pro forma heeft ons geleid tot een gebouw voor gemengd gebruik dat heel groot was om hun aspiraties voor de kunst te kunnen steunen. Maar het creëerde ook kansen voor de kunst zelf om samen te werken, tot interactie over te gaan met commerciële ruimten waardoor kunstenaars meer en meer van binnenuit wilden werken. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
place ces rencontres nous-mêmes ->
Date index: 2022-01-21