Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «devait pas être de jouer dans des grandes salles de concert » (Français → Néerlandais) :
Dans sa quête pour devenir une violoniste de renommée mondiale, Ji-Hae Park est tombé en dépression profonde. Seule la musique lui a permis de s'en sortir, en lui montrant que son but ne devait pas être de jouer dans des grandes salles de concert, mais plutôt d'apporter le pouvoir de son instrument au plus grand nombre de personnes possible.
In haar ambitie om een wereldberoemde violiste te worden, viel Ji-Hae Park in een ernstige depressie. Muziek haalde haar eruit. Ze leerde dat haar doel niet spelen in chique concertzalen was, maar het wonder van het instrument aan zoveel mogelijk mensen overbrengen.
La carrière de David Byrne l'a amené
à jouer aussi bien dans les clubs de Brooklyn qu'au Carnegie Hall. Il se pose cette question :est-ce que c'est la s
alle de concert qui fait la musique. Des séances de percussion en plein air aux opéras wagnériens en p
assant par les méga-concerts de rock, il analyse l'influence du contexte sur
...[+++] l'innovation musicale.
Tijdens zijn carrière speelde David Byrne van CBGB tot in Carnegie Hall. Hij stelt de vraag of muziek wordt bepaald door de ruimte waarin het wordt uitgevoerd. Van drummen in de buitenlucht tot Wagneriaanse opera's tot stadionrock - hij onderzoekt hoe muziek evolueerde door de context.
Nous partageons d'autres types de divertissements
-- des stades, des parcs publics, des salles de
concerts, des bibliothèques. des universités. Toutes ces choses sont des plateformes de partage mais le partage en fin de compte commence et finit avec ce à quoi je fais référence comme la mère de toutes les plateformes de partage. Et quand je pense au maillage et que j
e pense à ce qui le fait avancer, ...[+++]comment se fait-il que ça se passe maintenant, je pense qu'il y a un certain nombre de vecteurs que je veux vous donner comme contexte. L'un de ces vecteurs est la récession -- le fait que la récession nous ait amenés à repenser notre relation aux choses dans nos vies en fonction de leur valeur -- donc en commençant à aligner la valeur avec le coût véritable. Deuxièmement, l'accroissement de la population et la densité des villes. Plus de gens, des espaces plus petits, moins de choses. Le changement climatique. Nous essayons de réduire le stress dans nos vies personnelles et dans nos communautés et sur la planète. Il y a eu aussi cette méfiance récente vis-à-vis des grands marques, des grandes marques internationales, dans un tas d'industries différentes. Et cela a créé une ouverture. La recherche montre ici, aux Etats-Unis, et au Canada et en Europe de l'Ouest que la plupart d'entre nous sont beaucoup plus ouverts aux compagnies locales, ou à des marques dont nous n'avons peut-être pas entendu parler.
We delen andere soorten van vermaak: sportarena'
s, openbare parken, concertzalen, bibliotheken, unive
rsiteiten. Dit zijn allemaal platforms voor delen, maar delen begint en eindigt uiteindelijk bij wat ik noem 'de moeder van alle dee
lplatforms'. Als ik over het maaswerk nadenk, waardoor dat gedreven wordt, hoe het kan dat het nu gebeurt,
denk ik dat
...[+++] er een aantal drijfveren zijn die ik als achtergrond wil geven. Een ervan is de recessie. De recessie heeft ervoor gezorgd dat we de verhouding tot spullen in ons leven zijn gaan heroverwegen. Dat we de waarde van spullen zijn gaan afstemmen op de werkelijke kosten. Ten tweede, de groei van de bevolking en de dichtheid in steden. Meer mensen, kleinere ruimtes, minder spullen. Klimaatverandering. We proberen de stress te verminderen in ons persoonlijk leven, in onze gemeenschap en op de planeet. Ook is er sinds korte tijd wantrouwen jegens wereldwijde, grote ondernemingen in een aantal verschillende bedrijfstakken. Dat heeft een opening gecreëerd. Onderzoek toont aan dat hier in de V.S., in Canada en in West-Europa de meeste mensen meer open staan voor lokale bedrijven of namen die misschien onbekend zijn.Bon, je me disperse, là. NM : Non,
je veux que tu leur parles de Leahy. DL : Eh bien quoi, Leahy ? (Rires) NM : Dis leur ce que... DL : Elle veut que je parle de ... Nous avons un groupe qui s'appelle Leahy. Il y a 11 frères et sœurs. Nous, euh... Qu'est ce que pourrais leur dire ?
(Rires) Nous avons ouvert - NM : Pas un cabinet médical. DL : Pas un cabinet médical, oh non
. Nous avons eu une grande chance. Nous avons ...[+++]fait la première partie de Shania Twain pendant deux ans, lors de sa tournée internationale. C'était génial pour nous, et maintenant, toutes mes sœurs se sont arrêtées pour avoir des bébés, et les garçons se marient tous, alors nous restons près de chez nous pour, je suppose, encore deux semaines. Qu'est-ce que je peux dire ? Je ne sais pas quoi dire, Natalie. Nous, euh ... (Rires) (Rires) NM : C'est ça, le mariage ? (Applaudissements) J'aime ça. (Applaudissements) (Rires) DL : Ah oui, ok, dans ma famille il y avait sept filles, quatre garçons, il y avait deux violons et un piano, et bien sûr nous nous battions tous pour jouer des instruments, alors papa et maman ont établi une règle selon laquelle on ne pouvait pas pour jouer quelqu'un d'un instrument. On devait attendre qu'il ait fini, alors bien sûr, ce qu'on faisait, c'est qu'on se mettait au piano, et et on ne le quittait même pas pour manger, parce qu'on ne voulait pas céder sa place à un frère ou une sœur, et ils attendaient encore et encore, et arrivait minuit, et vous étiez encore là au piano, mais c'était leur façon de nous amener à pratiquer.
Hoe dan ook, ik blijf maar doorbabbelen. NM: Nee, Ik wil
dat je hen vertelt over Leahy. DL: Wat is er met Leahy? (Gelach) NM: Vertel ze gewoon wat -- DL: Ze wil dat ik vertel over -- We hadden een band genaamd Leahy. We waren met 11 broers en zussen. We, eh -- Wat zal ik ze vertellen (Gelach) We begonnen -- NM: Geen operaties. DL: Geen operaties, oh ja. We k
regen een geweldige kans. We speelden twee jaar lang in het voorprogramma van Shania Twain. Die internationale tournee was erg belangrijk voor ons. Al mijn zus
...[+++]sen krijgen nu kinderen en de jongens gaan allemaal trouwen, dus we blijven dicht bij huis, denk ik, voor een aantal weken. Wat moet ik zeggen? Ik weet niet wat ik moet zeggen, Natalie. Wij, eh...(Gelach) (Gelach) NM: Is dit waar het huwelijk over gaat? (Applaus) Ik vind het leuk. (Applaus) (Gelach) DL: Oh ja, oke, in mijn familie hadden we zeven meisjes, vier jongens, we hadden twee violen en één piano, en natuurlijk ruzieden we allemaal over wie er op de instrumenten mocht spelen, dus pa en ma hadden de regel geïntroduceerd dat we niemand het instrument af mochten pakken. Je moest wachten totdat ze klaar waren. Wat deden we dus? We gingen achter de piano zitten en je ging er niet eens af om te eten omdat je je plekje niet op wilde geven aan je broer of zus. Zij moesten wachten en wachten. Om middernacht zat je nog steeds achter de piano, maar het was hun manier om ons aan het oefenen te krijgen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
devait pas être de jouer dans des grandes salles de concert ->
Date index: 2022-07-12