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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «chambre cette nuit-là » (Français → Néerlandais) :
L'autre chose à laquelle je pensais dans ma chambre cette nuit-là était: «Comment ai-je pu faire ça?
De andere gedachte die ik toen in mijn slaapkamer had was: Hoe kon ik dat nou doen?
Il y a un dodécaèdre que j'ai du réaliser dans ma chambre la nuit dernière.
Dit is een dodecaëder die ik vannacht in mijn kamer moest maken.
Quand ils entrent dans notre chambre la nuit, ils préfèrent piquer ma femme.
Als ze 's avonds in onze slaapkamer vliegen bijten ze liever mijn vrouw.
Ceci s'appelle La Robe. C'est un
poème plus long, À cette époque, cette époque qui existe seulement pour moi comme le souvenir le plus fuyant maintenant, quand souvent le premier son que tu entendais le matin était un orage de chants d’oiseaux, puis le doux clopinement des sabots du cheval qui tirait le chariot de lait dans la rue, et le dernier son la nuit en toute probabilité était ton père qui s’arrêtait dans sa voiture, après avoir travaillé tard encore, toujours tard, et descendant pesamment au sous-sol, à la chaudière, pour vider les cendres et calfeutrer les courants avant de remonter l’escalier et tomber dans le lit; dans ces jo
...[+++]urs lointains, les femmes, ma mère, les mères de mes amis, nos voisins, toutes les femmes que je connaissais, portaient, souvent presque toute la journée, ce qu’on appelait des robes de chambre, bon marché, à motifs, comme de la pulpe, apparemment et exprès sans forme, des robes légères en coton qu’on portait par dessus de sa chemise nuit, et quand on devait chercher un enfant, étendre du linge sur la ligne, ou descendre à l’épicerie au coin, par dessous un manteau, l’ourlet tordu de la chemise de nuit, toujours plat et jauni, pendant dessous.
Nu volgt Het huisschort . Dit is een langer gedicht. In lang vervlogen tijden die voor mij nu nog slechts als vluchtige herinneringen herleven, tijden waarin je 's ochtends vaak werd gewekt door een aanzwellend vogelkoor gevolgd door het gedempte getrappel van het paard van de melkboer onder aan de straat, tijden waarin je vrijwel iedere avond als laatste je vader in zijn auto hoorde voorrijden, na een werkdag die altijd te lang was, eerst klossend naar de kelder, naar de ketel, om as uit te scheppen en de klep te verzetten, en vervolgens naar boven, waar hij zijn bed in rolde. In die lang vervlogen tijden droegen vrouwen, mijn moeder, de moeders van mijn vrienden, buurvrouwen, alle vrouwen die ik kende, een groot deel
van de da ...[+++]g het zogenaamde huisschort, een goedkope, bedrukte lap, schijnbaar met opzet vormeloze lichtkatoenen hoezen, die je over je nachthemd droeg, en als je naar een kind op zoek ging, was aan de lijn hing, of even iets haalde bij de winkel op de hoek, onder een jas. De verwrongen zoom van je nachthemd stak er dan slap en vergeeld onder uit.(Rires) C.A. : Vraiment, ils appellent ? Alors, sérieusement, plus sérieusement, vous devez passer des nuits blanches parfois à vous demandez où ce travail vous mène. Je veux dire vous êtes clairement une personne formidable. Mais quelqu'un pourrait profiter de cette connaissance et pourrait à l'avenir pas faire une chambre de torture mais faire des actes dont les gens ici pourraient avoir peur. R.S.: Oui, nous sommes également inquiets. Alors, il y a certaines choses que je dois ajouter au sujet de la TMS.
(Gelach) C.A.: Bellen ze echt? Dus, dan serieus, serieus, dan moet je 's nachts soms wakker liggen af te vragen waar dit werk heen leidt. Ik bedoel, je bent duidelijk een fantastisch mens. Maar iemand kan deze kennis vergaren en in een toekomstige niet-martelkamer, dingen doen waar men zich hier zorgen om maakt. R.S.: Ja, we maken ons hierom zorgen. Maar, er zijn een paar dingen te zeggen over TMS.
Et la troisième nuit nous sommes rentrés, nous venions de sortir dîner où vous avez vu les photos, et nous sommes arrivés à la réception et le gars à la réception a dit, Il
n'y a pas d'autres chambres de libres à votre étage ce soir, d
onc, si vous voulez mettre les enfants cinq étages plus bas que vous, il y a une chambre. ' Et Gene et moi nous sommes regardés et avons dit: Non, nous ne voulons pas que deux enfants de 11 ans soient 5 étages plus bas. Alors, son fils dit: «Papa, j'ai un sac de couchage, je vais dormir par terre. Et j'a
...[+++]i dit, Ouais, j'en ai un aussi. Donc, Tim et et moi avons dormi par terre, Natasha a pris un lit, Gene a pris l'autre, les enfants se sont endormis d'un coup, ça avait été très excitant pendant trois jours. Nous étions au lit, et Gene et moi discutons de combien nous sommes cool.
De derde nacht, na het eten, kwamen we terug bij de balie en de man zegt: Op jullie verdieping is vannacht geen kamer vrij. De kinderen kunnen wel 5 verdiepingen lager slapen. Gene en ik keken elkaar aan en zeiden: Nee, niet vijf verdiepingen verderop. Zijn zoon zei: Pap, ik heb een slaapzak, ik kan op de grond slapen. Ik zei: Ja, ik heb er ook een. Dus Tim en ik sliepen op de grond, Natasha kreeg één bed en Gene het andere -- de kinderen vielen als een blok in slaap. We liggen in bed en Gene en ik praten over hoe cool we zijn.
Je lui ai ensuite lu un chapitre de « James et la Grosse Pêche », de Roald Dahl. Je l'ai ensuite mis au lit, j'ai replié la couverture sur lui, je l'ai embrassé sur le front et je lui ai dit : « Bonne nuit, mon pote » et je suis sorti de sa chambre. Alors que je sortais de sa chambre, il m'a dit : « Papa ? ». J'ai répondu : « Oui, mon pote ? » Il m'a dit : « Papa, c'est la meilleure journée de toute ma vie. » Je n'avais rien fait de spécial, je ne l'avais pas emmené à Disney, je ne lui avais pas acheté de Playstation.
Toen las ik een hoofdstuk voor uit De reuzenperzik van Roald Dahl. Ik bracht hem naar bed, stopte hem in, gaf hem een nachtzoen en zei: Welterusten, jongen en ging zijn slaapkamer uit. Toen ik de kamer uitging, zei hij: Pap? en ik: Ja, jongen? Hij zei: Pap, dit was de mooiste dag van mijn leven, de allermooiste. Ik had niets gedaan, we waren niet naar Disney World geweest, ik had hem geen Playstation gegeven.
La nuit chez Sonny Boy et sa famille a changé ma vie, parce que, à l'heure de se coucher, nous nous sommes tous étendus sur ce sol dur de la taille
de la moitié de ma chambre, moi, Sonny Boy et l
e reste de sa famille, sept personnes alignées, enveloppés par l'odeur des ordures et les cafards qui rampaient tout autour. Je n'ai pas fermé l’œil de la nuit, je suis resté éveillé et cogitant : « Pourquoi y a-t-il des gens qui vivent comme ça, alors que moi j'ai tant de choses ? » « Pourquoi faut-il que la possibilité de Sonny Boy de réaliser ses rêves dépende
...[+++]de l'endroit où il est né ? » Ce que Warren Buffett a appelé « la loterie ovarienne » ? Je ne pouvais pas le comprendre, et je voulais le comprendre.
Die nacht met Sonny Boy en zijn familie veranderde mijn leven voorgoed, want toen het tijd was om te gaan slapen, gingen we gewoon ligg
en op een betonnen strook, half zo breed als mijn slaapkamer: ikzelf, Sonny Boy en de rest van zijn familie. Met zijn zevenen lagen we op een rij, in de stank van het vuilnis en omsingeld door kakkerlakken. Ik deed geen oog dicht en lag alleen maar te denken: Waarom zou iemand zo moeten leven, terwijl ik zo veel heb? Waarom zou Sonny's kans om zijn droom te verwezenlijken af moeten hangen van waar hij is geboren, wat Warren Buffet noemde de 'baarmoederloterij'? Ik begreep er niets van en ik moest erachter
...[+++] komen waarom.C'était là où on traînait, où on regardait la télé, donc, à chaque fois que j'allais de ma chambre à la salle de bains, tout le monde me regardait. A chaque fois que je prenais une douche et revenais avec ma serviette, tout le monde me regardait. Et je ressemblais à ça. Je me sentais bizarre, mal à l'aise, et je détestais ça. Je détestais ce trajet, je détestais ce balcon, je détestais cette chambre, je détestais cette maison.
Daar zat iedereen altijd en keken we tv. Dus telkens als ik van mijn slaapkamer naar de badkamer liep, kon iedereen me zien en telkens als ik douchte en terugliep in een handdoek kon iedereen me zien. Zo zag ik eruit. Ik was vreemd, onzeker en ik baalde ervan. Ik had een hekel aan die overloop, een hekel aan die kamer en een hekel aan dat huis.
Quand je me remémore cette nuit-là, j'aimerais tellement pouvoir croire que j'ai traité cette femme, cette nuit-là, avec la même empathie et la même compassion dont j'avais fait preuve envers la jeune mariée de 27 ans qui s'était présentée aux urgences trois jours plus tôt pour une douleur dans le bas du dos qui s'était avérée être un cancer du pancréas avancé.
Als ik op die nacht terugkijk, zou ik niets liever willen dan geloven dat ik die vrouw met dezelfde empathie en compassie behandelde, als de pasgetrouwde 27-jarige vrouw, die 3 dagen eerder werd binnengebracht met pijn in de onderrug, die alvleesklierkanker in een gevorderd stadium bleek te zijn.
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chambre cette nuit-là ->
Date index: 2024-06-24