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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «animaux et humains » (Français → Néerlandais) :
Médecins et vétérinaires prenaient essentiellement soin des mêmes problèmes chez leurs patients animaux et humains : insuffisance cardiaque, tumeurs au cerveau, leucémie, diabète, arthrose, et même des syndromes psychiatriques comme la dépression, l'anxiété, SLA, cancer du sein, les compulsions, les troubles de l'alimentation et l'automutilation.
Dokters en veeartsen bekommerden zich in wezen om dezelfde ziekten bij hun dierlijke en menselijke patiënten: hartinsufficëntie, hersentumoren, leukemie, diabetes, arthrose, ALS, borstkanker, zelfs psychiatrische syndromen zoals depressie, angst, obsessies, eetstoornissen en zelfverminking.
Avec l'érosion de la ceinture verte séparant les animaux des humains, nous vivons dans l'environnement viral les uns des autres.
Met het verdwijnen van de groene gordel die dieren en mensen uit elkaar houdt, komen we in elkaars virale omgeving te leven.
Aujourd'hui, tous les animaux non humains sont des objets juridiques.
Op dit moment zijn alle niet-menselijke dieren 'dingen'.
Si un être intelligent extra-terrestre devait écrire l'encyclopédie de la vie sur notre planète, 27 de ces 30 volumes seraient consacrés aux bactéries et aux virus, laissant seulement quelques volumes pour les plantes, les champignons et les animaux -- les humains n'étant qu'une note de bas de page -- intéressante certes, mais néanmoins rien qu'une note de bas de page.
Als een intelligent buitenaards wezen een encyclopedie zou maken over het leven op deze planeet, zouden 27 van de 30 werken gewijd zijn aan bacteriën en virussen, en in die paar overige staan de planten, schimmels en dieren, met mensen, hoe interessant ook, als niet meer dan een voetnoot.
Ce qui se cache parfois derrière ces drôles de vidéos mettant en scène des animaux, nous renvoie curieusement à des problématiques humaines. Laurel Braitman étudie les animaux atteints de maladie mentale - de l'ours compulsif, en passant par le rat qui s'auto-mutile ou par les singes qui nouent d'improbables amitiés. Braitmam se demande ce que nous, humains, pouvons apprendre de l'observation de ces animaux qui luttent contre la dépression, la tristesse et de tout autre problème si « humains ».
Achter de grappige videoclips over dieren schuilen soms menselijke problemen. Laurel Braitman bestudeert dieren met psychische problemen - van beren met een dwangstoornis en ratten die zichzelf schade toebrengen tot apen met onwaarschijnlijke vrienden. Braitman stelt zich de vraag wat wij mensen kunnen leren van de manier waarop dieren omgaan met depressiviteit, verdriet en andere bijna menselijke problemen.
Ce sont des paysages extraordinaires. Mais peu d'entre nous les verrons jamais. Et de plus en plus ces paysages ne se contentent pas non plus de nous nourrir. Et alors que nous sommes plus nombreux à nous déplacer vers les villes, nous sommes plus à manger de la viande, au point que le tiers de la récolte annuelle mondiale de céréales
sert à nourrir les animaux plutôt que nous, les animaux
humains. Et étant donné qu'il faut trois fois plus de céréales -- en réalité dix fois plus de céréales -- pour nourrir un humain si ces céréales passent d'abord par un
...[+++]animal, ce n'est pas un moyen très efficace de nous nourrir.
Dit zijn buitengewone landschappen. Maar slechts weinigen krijgen ze ooit te zien. En steeds meer voeden dit soort landschappen niet alleen de mens. Terwijl steeds meer van ons naar de stad verhuizen, eten steeds meer van ons vlees, zodat een derde van de globale jaarlijkse graanoogst nu wordt gebruikt om dieren te voeren in plaats van ons menselijke dieren. Ervan uitgaande dat het drie keer zo veel graan kost -- eigenlijk tien keer zo veel graan -- om een mens te voeden als het eerst door een dier gegaan is, is dit geen hele efficiënte manier om ons te voeden.
Dans l'océan, c'est la norme plutôt que l'exception. Si je plonge dans l'océan, pratiquement n'importe où dans le monde, et que je traine un filet à 3 000 pieds sous la surf
ace, la plupart des animaux, en fait dans beaucoup d'endro
its de 80 à 90 pour cent des animaux que je ramènerai dans ce filet créeront de la lumière. Et cela crée des spectacles de lumières vraiment spectaculaires. Maintenant je voudrais partager avec vous une petite vidéo que j'ai faite depuis un sous-marin. J'ai commencé à développer cette technique dans un petit
...[+++] sous-marin individuel appelé nomade des profondeurs et je l'ai ensuite adaptée pour l'utiliser à bord du Johnson Sea-Link, que vous voyez ici. Donc, il y a un panier d'un mètre de diamètre avec un écran tendu au travers attaché devant la sphère d'observation. Et à l'intérieur de la sphère j'ai une caméra hyper sensible qui est à peu près aussi sensible qu'un oeil humain adapté à l'obscurité, même si elle est un peu floue. Donc vous mettez la caméra en marche et vous éteignez les lumières. L'étincelle que vous voyez n'est pas de la luminescence ; c'est juste du bruit electronique capturé par ces appareils hyper sensibles. Vous ne voyez pas la luminescence avant que le sous-marin ne commence à évoluer dans l'eau, et quand il le fait, les animaux qui touchent l'écran sont stimulés et créent de la luminescence. Quand j'ai commencé à faire cela, j'essayais seulement de compter le nombre de sources. Je connaissais ma vitesse, je connaissais l'endroit. Donc je pouvais estimer combien de centaines de sources il y avait par mètre cube. Mais j'ai commencé à réaliser que je pouvais en fait identifier les animaux par le genre de flash qu'ils produisaient. Et donc, ici dans le golfe du Maine à 740 pieds, je peux quasiment nommer tout ce que vous voyez ici comme espèces,
In de oceaan is het eerder regel dan uitzondering. Als ik me op de open oceaan begeef, vrijwel overal ter wereld, en ik sleep een net van 900 meter naar de oppervlakte, zijn de meeste dieren, op veel plekken 80 tot 90 procent van de dieren die naar boven komen, lichtgevend. Dat staat garant voor behoorlijk spectaculaire lichtshows. Nu laat ik jullie een klein filmpje zien dat ik opnam vanuit een onderzeeër. Ik ontwikkelde deze techniek met een kleine éénpersoons duikboot genaamd Deep Rover, en heb haar toen aangepast voor de Johnson Se
a-Link, die je hier ziet. Vóór de observatiekoepel is een ring van 90cm diameter met daarvoor een gaas g
...[+++]espannen. In de koepel heb ik een versterkte camera die ongeveer zo gevoelig is als een aan donker aangepast menselijk oog, alleen een beetje wazig. Dus je zet de camera aan, doet de lichten uit. Die glinstering die je ziet, is geen luminescentie; dat is elektronische ruis op deze geïntensiveerde camera's. Je ziet geen luminescentie totdat de onderzeeër begint te bewegen door het water, maar als hij dat doet, worden tegen het scherm botsende dieren gestimuleerd om licht te geven. Toen ik dit voor het eerst deed, probeerde ik enkel het aantal bronnen te het tellen. Ik kende mijn snelheid; ik kende het gebied. Dus kon ik uitrekenen hoeveel honderden bronnen er waren per kubieke meter. Maar ik begon te beseffen dat ik dieren kon identificeren door de soort flitsen die ze produceerden. Hier, in de Golf van Maine op 225 meter, kan ik vrijwel alles wat je ziet benoemen tot op soort-niveau,Ce que j’appelle la partie humaine – les humains, leur bétail, et leurs animaux de compagnie -- par rapport à la partie de nature – tous les autres animaux sauvages -- ce sont les vertébrés et les oiseaux, etc.… sur la terre et dans le ciel, pas dans l’eau.
Bekijk het menselijke deel - mensen met hun vee en huisdieren - ten opzichte van het natuurlijke deel - alle andere wilde dieren, de zoogdieren, de vogels, enz., op het land en de lucht, niet in het water.
Ces tribus-ci n'étaient pas plus malignes ou plus douées pour domestiquer. L'Ancien
Monde avait plus d'animaux de valeur et faciles à utiliser. Avec des chiens, gérer les moutons et le bétail e
st plus simple. Les humains ont alors un ami pour garder un œil sur l'usine à vêtements, et sur le lait et les cheeseburgers, et les tireurs de charrue. Cultiver est plus facile, donc il y a plus de bénéfices à être sédentaire, ce qui signifie plus de domestications, donc plus de nourriture, soit plus de gens et plus de densités et - oh, regarde
...[+++]z où l'on va. Grande ville, beaucoup de gens, amenez vos animaux, les pestes sont les bienvenues. Voilà la réponse en entier. Le manque d'animaux du Nouveau Monde à domestiquer, limita non seulement l'exposition aux sources de germes, mais en plus la production de nourriture, et par le même coup la croissance démographique, et donc les villes - ce qui rendait les pestes sur ce continent une quasi-impossibilité. De l'autre côté, c'était exactement l'inverse. Ainsi, il y eut un continent remplit de pestes, et un autre vierge d'elles.
Deze v
roege stammen waren niet slimmer, of beter in temmen. De oude wereld had waardevollere en makkelijkere dieren. Met honden werd het hoeden van schapen en veel makkelijker. Nu hadden mensen een vriendje om een oogje te houden op de klerenfabriek en melk- en cheeseburger-machine, en de ploeg-trekker. Nu is de landbouw makkelijker, wat betekent dat er een groter voordeel is in blijven, wat leidt tot meer temming, wat meer eten betekent, wat betekent meer mensen en meer dichtheid en oh, kijk waar we heen gaan: Stadsdam. Bevoling: veel, breng je dieren, plagen welkom. Dat is het volledige antwoord: het tekort aan dieren om te temmen in d
...[+++]e nieuwe wereld beperkte niet alleen de blootstelling aan ziektekiemen, maar ook gelimiteerd voedselproductie, en daarmee een gelimiteerd bevolking, welke steden limiteerde, waardoor plagen in de nieuwe wereld bijna onmogelijk waren. In de oude, precies omgekeerd. En daarom een continent vol plagen en een continent zonder enige.L'éminent anthropologue, Clifford Geertz, a déclaré il y a quelques années, que les êtres humains sont les « animaux inachevés ». Il voulait dire par là que c'est uniquement humain d'avoir une nature humaine qui est bien le produit de la société dans laquelle les gens vivent.
De befaamde antropoloog Clifford Geertz zei jaren geleden dat mensen de 'onvoltooide dieren' zijn. Wat hij hiermee bedoelt, is dat het in de menselijke aard ligt om een menselijke aard te hebben die zozeer is gevormd door de samenleving waarin mensen leven.
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Date index: 2024-02-08