Comme l’a souligné John Holmes du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international lorsqu’il a comparu devant le Comité en 2002, « cela irait à l’encontre de la position du Canada qui veut que les réserves aux traités relatifs aux droits de la personne soient limitées en nombre et en portée, étant donné que les droits protégés par ces traités doivent être universels et obligatoires »[98].
[97] As stated by John Holmes of the Department of Foreign Affairs and International Trade when he appeared before the Committee in 2002, it is “ Canada ’s position that reservations to human rights treaties should be few in number and limited in scope, given that the rights protected in such treaties are intended to be universal and overarching”. [98]