En effet, j'ai souvent célébré les funérailles de personnes très pauvres et je pense que quand on a 75 ou 80 ans, quand on se retrouve veuf ou veuve — surtout veuve car il y a plus de femmes que d'hommes dans cette situation —, cela n'aide pas à la santé de vivre dans l'insécurité, ni de vivre dans un sous-sol, 24 heures sur 24.
I often conducted funerals for very poor people and I think that for a 75- or 80-year-old widow or widower—especially widows, since there are more women than men in this situation—it is not healthy to live in insecurity, or to live in a basement 24 hours a day.