L'organe d'appel soulignait en particulier que les éléments scientifiques auxquels l'UE avait eu recours étaient trop généraux, puisqu'ils n'évaluaient pas à proprement parler les risques liés aux résidus de substances hormonales dans les produits à base de viande.
In response to that ruling, the EU reviewed the available scientific information and it sought new evidence on the risk to human health of hormone residues in meat products.