En effet, le projet de loi C-3, tout comme l'ancien projet de loi C-68, est contesté et rejeté par la majorité des intervenants qui travaillent directement sur le terrain au Québec et qui luttent contre la criminalité juvénile: les criminologues, les intervenants sociaux, les corps policiers et les juristes.
Bill C-3, just like its predecessor, Bill C-68, is being challenged and rejected by the majority of those in Quebec who work directly to fight youth crime: criminologists, social workers, police officers and lawyers.