8. Il s’ensuit que, selon la jurispru
dence à ce jour, le législateur peut criminaliser une conduite s’il a « une appréhension raisonnée de préjudice » à autrui ou à la société dans son ensemble, et il y a de la doctrine à l’
effet que ce risque doit être « important », mais il n’y a pas d’affirmation de la part du tribunal sur le degré
de risque qui doit exister pour que le législateur intervienne ou, facteur plus
important ...[+++], quelles sont les limites au droit criminel (ou la paix, l’ordre et le bon gouvernement (POBG)), aux pouvoirs, et où se trouve la ligne de démarcation entre les questions « d’ordre public » et « d’ordre privé ».
8. If follows that according to the jurisprudence to date, Parliament can criminalize conduct if it has a “reasoned apprehension of a risk of harm” to others or to society as a whole and there is some authority that the risk in question must be “significant” but there is no clear statement from the Court as to what level of risk must exist before Parliament can act or, more importantly, what limits exist on the Criminal law, (or the Peace, Order and Good Government (POGG)), powers, and where the line is to be drawn between “public” and “private” matters.