Mon problème, je suppose, est que si deux médecins — et c'est ce que l'on constate régulièrement parce que c'est ce que je conseille de faire aux anciens combattants — déclarent et conviennent que quelqu'un a un problème, et que le TACRA rejette ensuite leur demande, pourquoi ce dernier n'applique-t-il pas le bénéfice du doute puisque les preuves médicales attestent déjà des inquiétudes de cette personne?
I guess my problem is that if two medical doctors and this is consistent now, because I advise all the veterans to do this state and agree that a particular individual has this problem, and then VRAB denies them, how can VRAB not apply the benefit of the doubt when medical evidence already says that the individual has these concerns?