M. Paul Harold Macklin: Dans la même veine, si les Églises estiment qu'il est vital—et je parle des Églises en général, car il y a des exceptions—qu'il est vital, donc, que nous, en tant que gouvernement, ne procédions pas à une modification de la définition, la question qui se pose alors est la suivante : que pensez-vous d'invoquer l'articl
e 1 de la Charte en faisant valoir qu'il s'agit d'une limite raisonnable, dont la justification peut se démontrer car elle participe des craintes exprimées par les Églises et q
...[+++]ue dès lors nous avons la possibilité d'établir un système parallèle, sous un autre nom?
Mr. Paul Harold Macklin: Now, to pursue that, if the churches believe this is vital and I say that generally, because obviously there are some churches that don't if there is a certain vitality in their requirement that we, as a government, not interfere with the definition, then I guess the next question is, how do you feel about our using section 1 of the charter, saying that this is a reasonable limitation that is demonstrably justifiable from the fears expressed by the churches to allow us to set up a parallel system and give it a different name?