Quand on dit, au Québec, qu'on veut être maîtres chez nous, qu'on veut prendre notre destinée en main, c'est qu'on pense qu'on réussira mieux si on a le pouvoir de résoudre nos problèmes, de faire la promotion de ce qu'on croit bon, si on peut s'épanouir, créer des emplois, augmenter notre capacité intellectuelle, économique, si on peut effectuer un meilleur partage des richesses.
In Quebec, when we say we want to be our own masters, to decide our own fate, it is because we believe that we will do better if we are allowed to solve our own problems and to promote what we feel is right, if we want to grow, to create jobs, to increase our intellectual and economic potential, and if we can better share our resources.