Il faut également rappeler, au-delà de toute partisanerie, que le gouvernement du Québec, le gouvernement libéral de Robert Bourassa, dans les années 1970, a été également le premier gouvernement à négocier une entente avec une nation autochtone, les Inuits du nord du Québec concernant le développement de la Baie James, une ent
ente qui, sans être parfaite, a constitué un précédent historique, faisa
nt en sorte que des peuples, une nation autochto
ne en l'occurrence, soient considéré ...[+++]s comme tels, comme un interlocuteur valable et pouvant décider pour son peuple, ce qui a amené à l'Entente de la Baie James, qui a été, à plusieurs occasions dans le passé et c'est le cas encore maintenant, cité en exemple.We should also remember, setting all polit
ical considerations aside, that the Quebec government, the Liberal government under Robert Bourassa in the 1970s, was also the first governm
ent to negotiate an agreement with a First Nation, with the Inuit in Northern Quebec on the development of James Bay, an agreement which although not perfect, set a historical precedent. As a result, a First Nation was considered a legitimate party, with the authority to deci
de on behalf of its people ...[+++], which led to the James Bay agreement, an agreement which has been quoted as an example on many occasions in the past and still is today.