En mars, la firme d'avocats Klippensteins, de Toronto, a intenté une autre poursuite qui pourrait faire jurisprudence à l'encontre de la petite société minière canadienne Copper Mesa Mining Corporation et de la Bourse de Toronto au nom de villageois équatoriens qui allèguent que les paramilitaires de l'entreprise utilisent la violence physique et les menaces de mort, et qu'ils violent les droits de la personne afin de briser l'opposition aux activités de la mine.
In March of this year, Toronto-based law firm Klippensteins filed another potentially precedent-setting case against the Canadian junior called Copper Mesa Mining Corporation and against the Toronto Stock Exchange on behalf of Ecuadorian villagers who allege that the company's paramilitary agents have resorted to physical assaults, death threats, and other human rights abuses to break opposition to the company's operations.