Mes paroles de soutien – et j’ai été soulagée de lire dans les journaux du dimanche que vous aviez nié vouloir quitter votre poste – s
ont les suivantes: étant très critique d’une politique commune de l’UE, et craignant de voir l’UE s’emparer d’une part de la souveraineté de mon pays,
je vous souhaite de rester en fonctions aussi longtemps que possible parce que, tant que v
ous serez là, je ne pense pas que nous aurons ...[+++] beaucoup de problèmes au niveau de la perte de souveraineté.