Dans une réponse plus complète au projet de loi, l’AFAC critique également l’absence d’une disposition d’interprétation, jugée « essentielle », pour « protéger d’importants droits collectifs tout en tenant compte des droits individuels », considère que la période de transition de six mois est insuffisante pour préparer les collectivités à l’application de la LCDP et invite « le gouvernement à ralentir pour veiller à ce que les choses se fassent correctement », puisque « cette mesure risque, en réalité, de faire plus de tort que de bien aux femmes autochtones »(45).
NWAC’s fuller response to Bill C-44 also criticizes the absence of an “essential” interpretive provision “to safeguard important collective rights while balancing the rights of individuals”. It views the bill’s six-month transition period as inadequate to prepare communities for application of the CHRA, and “[cautions] the government to slow down and ensure that this is done right,” since “this action may actually hurt more Aboriginal women than it will benefit” (45)