- (SV) Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, l'affaire du Kosovo a marqué, espérons-le, la fin d'une époque où le droit des peuples pouvait s'interpréter d'une façon qui laissait aux dictateurs le loisir de persécuter des minorités de la manière la plus terrible, tant que ces persécutions se déroulaient "à l'intérieur de la nation".
– (SV) Mr President, Commissioner, Kosovo was hopefully the last occasion on which international law could be interpreted as saying that dictators could persecute minorities in the most repellent way on the grounds that “it is happening within their own nation”.