M. Mendes : Je pense que cela porterait sur la question que je souligne dans mo
n mémoire et qui me préoccupe beaucoup pour l'avenir de tous les partis politiques au Canada. Il s'agit du lien entre l'interdiction absolue de contribuer faite aux syndicats, aux associations et aux entreprises, et le financemen
t d'État, écrasant, parce que cela provoque un dérèglement du système politique en occasionnant — comme le disait le professeur Seidle de même que le sénateur Joyal — un ense
mble de « coquilles ...[+++]vides », puisqu'il est désormais possible de créer un parti tiers et ainsi de faire passer la limite à 150 000 $.Mr. Mendes: I believe that it would be on the issue that I present in my
brief, which is of deep co
ncern to me for the future of all political parties in this country: the linkage between the total prohibition on trade unions, associations and corporations with the previous structure of the massive public subsidy, which is creating dysfunctional political systems — " empty shells," as Professor Seidle said, and, as Senator Joyal has said, the fact that you can just cloak
yourself in a third party and sudde ...[+++]nly your limit goes up to $150,000.