À ce moment-là, le fédéral faisait sûrement plus confiance aux Québécois, aux Québécoises, aux administrateurs et aux élus démocratiques du Québec en leur permettant d'obtenir la somme du fédéral qu'on veut et qui nous revient—elle vient de nos impôts—pour l'administrer au Québec.
In those days, the federal government's trust in Quebeckers, their administrators and democratically elected representatives was greater, since it allowed Quebec to have the money it wanted and which was Quebec's anyhow—it is our own tax money—to be administered in Quebec.