À mon sens, l’approche de la directive sur le commerce électronique doit être privilégiée sur le plan politique et ne doit par conséquent pas être contrecarrée par la réglementation reprise dans la convention de Bruxelles/Lugano et dans la convention de Rome II. C’est pourquoi je propose pour la suite de la procédure, soit de reporter la modification jusqu’à ce que toutes les questions juridiques en suspens dans le domaine soient réglées, soit de maintenir le statu quo de l’équilibre des intérêts entre les fournisseurs et les consommateurs en cas de modification de la convention de Bruxelles/Lugano.
The approach in the e-commerce directive is, in my view, the preferable political approach and should not therefore be contradicted by the regulation in the Brussels/Lugano Convention or in Rome II. I therefore propose that we proceed either by postponing any amendment to the Brussels/Lugano Convention until all the outstanding legal issues in this area have been regulated or that we amend the Brussels/Lugano Convention but maintain the status quo of the balance of interests between suppliers and consumers.