Nous, Amnistie internationale, et plusieurs autres, demeurons profondément troublés par ce qu'a dit la Haute Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme dans son rapport de mars dernier. Elle se disait en effet très inquiète de ce que les déclarations publiques dans lesquels de nombreux hauts représentants du gouvernement stigmatisaient les défenseurs des droits de l'homme et les syndicalistes en les montrant sous un mauvais jour et en les associant aux guérilléros, n'avait toujours pas cessé.
We and others remain gravely concerned about what the UN High Commissioner for Human Rights described in her March report, that “The worrying practice by some senior Government officials of publicly stigmatizing human rights defenders and trade union members, as biased and sympathetic to guerrilla groups, continued”.