Ces contributions soulèvent une série
de questions que le Conseil de printemps examinera. En outre, je suis d'accord avec le député qui a dit que
l'Union européenne devra démontrer en mars - il est évident que la présidence n'a pas de pouvoirs magiques et ne peut décider au nom des Quinze -, les Quinze devront
démontrer que, malgré le climat actuel, ils sont parvenus à prendre des décisions qui ouvriront des perspectives, établiront la confiance et travailleront pour le bien à venir de l'Union
...[+++] européenne.