Le projet de loi augmente à cinq ans la période dont dispose la Commission des libérations conditionnelles du Canada pour examiner la libération conditionnelle suivant son annulation ou sa révocation pour quelqu'un qui, par exemple, serait retourné en prison à la suite d'une mauvaise conduite.
The bill gives the Parole Board of Canada up to five years to review parole following the cancellation or termination of parole for someone who, for example, is sent back to prison following bad behaviour.