Car, ne l’oublions pas, si la présidence française a préféré faire échouer la négociation sous le motif fallacieux "Plutôt pas d’accord qu’un mauvais accord", c’est surtout parce qu’elle craignait d’être confrontée à un référendum négatif (en dépit des torrents de propagande et de sondages biaisés, qui prétendaient, et prétendent toujours, que les peuples appellent de leurs vœux l’Europe supranationale).
Let us not forget the fact that if the French Presidency preferred to let negotiations fail on the fallacious grounds that ‘no deal is better than a bad deal’, then it did so above all because it feared being faced with a negative referendum (despite the floods of propaganda and biased surveys, which claimed and still claim today, that the people are hoping and praying for a supranational Europe.