En réponse aux affirmations des États membres selon lesque
lles ces apports de capitaux ne doivent pas être considérés comme des aides car ils répondent simplement à une obligation légal
e, la communication susmentionnée prévoit que des investisseurs commerciaux confrontés à
une telle situation doivent également envisager toutes les autres possibilités — y compris celle de liquider leur investissement ou de le réduire de toute autre
...[+++]manière (119) — et choisir la solution la plus saine sur le plan financier.