Dans notre recherche—et je parle ici de la recherche que j'ai effectuée sur la prostitution de trottoir—nous avons constaté, en examinant les données, que, oui, un certain nombre sont en crise, mais la vaste majorité, même des prostituées de rue, n'agissent pas d'une manière qui traduit une crise, ou ne recherchent pas l'aide de groupes et d'associations bureaucratiques—qu'il s'agisse du Centre Le Portage, ou de CACTUS ou, à Montréal, la Clinique pour les jeunes dans la rue, ou tout autre service social ou groupes de soutien—et d'autres formes d'aide pour surmonter la crise qu'elles vivraient.
In the research—and here I'll speak only of the research I've done with street-based sex workers—one of the things we've found in looking at the data is that yes, there are some in crisis, but the vast majority of people even on the street do not act in such a way as to suggest they're in crisis, or seek out help from bureaucratic groups and associations—whether that be Centre Le Portage, or CACTUS, or in Montreal, Clinique pour les jeunes dans la rue, or any social service or support groups—and other kinds of supports to help them get over the crisis they are experiencing.