Et même alors (si nos structures de recrutement, aussi rouillées qu’engorgées, arrivent tant bien que mal à s’acquitter de leur tâche), l’effectif des Forces canadiennes sera encore de 30 p. 100 inférieur à ce qu’il devrait être pour pouvoir répondre à la cadence des missions que les politiciens ont assignées à ces dernières au cours de la dernière décennie.
Even when they do (if rusty and bottled-up recruitment mechanisms ever stagger into gear) the Canadian forces will still be about 30 per cent short of the personnel they need to meet the tempo of assignments politicians have given them over the past decade in a sustainable way.