Thus, 1,668 of the total 2,009 “drug addicts” were criminals, which was sufficient in the Committee's view to confirm the thesis of the “criminal” or “contaminating” user.[64] It was therefore clear that drug addiction was not a disease. In the Committee's view, most “addicts” came from disadvantaged backgrounds in which crime and family problems were omnipresent.
La GRC en concluait que vraisemblablement 1 668 toxicomanes sur un total de 2 009 étaient des criminels, ce qui fut suffisant aux yeux des membres du Comité pour confirmer la thèse de l’usager « criminel » ou « contaminateur ».[64] Même si les calculs et les déductions de la GRC étaient nébuleux, il devenait par contre « clair » pour les sénateurs que la toxicomanie n’était pas une maladie.