Efforts to secure government support for alcoholism services were also spurred by the view of alcoholism as a preventable and treatable “disease” rather than an expression or sequella of moral weakness.
Ils appuient leurs démarches sur l’opinion que l’alcoolisme n’est pas un symptôme ou une séquelle de faiblesse morale, mais plutôt une « maladie » qu’on peut prévenir et traiter.