When challenged at the committee stage, where officials came and made representations, as to whether they could point out a single other country in the world, which is signatory to the UN convention against torture, that even contemplates the idea of sending people back to where they may face torture, they were unable to answer.
Lorsqu'on a questionné les hauts fonctionnaires venus nous présenter leur exposé à l'étape de l'étude en comité et qu'on leur a demandé s'ils pouvaient nous nommer un seul autre pays au monde ayant signé la Convention de l'ONU contre la torture où on pourrait même penser à renvoyer des gens dans des endroits où ils risqueraient de subir des tortures, ils n'ont pas pu répondre.