Even if we manage to negotiate a certain number of points to that effect with our producers, we think that because it is essentially—if not totally—public funds that support the production of educational programs and that the francophone market, because of its smaller universe, isn't really a commercial market, then those programs should be accessible to all markets at no cost.
Or, même si on réussit à négocier avec nos producteurs un certain nombre d'accommodements à cet effet, on pense que, parce que ce sont essentiellement je dirais même complètement des fonds publics qui soutiennent la production d'émissions éducatives et que le marché francophone, à cause de son univers restreint, n'est pas vraiment un marché commercial, ces émissions devraient être accessibles à tous ces marchés, et de façon gratuite.