We, the labour movement and organizations like the then brand new Council of Canadians warned them, Because most Canadian cities were within 100 miles of the American border, we warned them that with free trade and the removal tariff barriers our plants owned by American companies would move or close.
De concert avec le mouvement ouvrier et des organismes comme le Conseil des Canadiens, qui venait de voir le jour, nous lancé une mise en garde. Comme la plupart des villes canadiennes étaient situées à moins de 100 milles de la frontière américaine, nous avions toutes les raisons de croire que, compte tenu du libre-échange et de la suppression des barrières tarifaires, il était inévitable que nos usines appartenant à des compagnies américaines déménagent ou ferment leurs portes.