M. Parizeau, qui a été l'artisan et même, certains disent, le rédacteur du discours que je viens de lire, disait «que ce gros réservoir de capital, d'une part, permettait
au gouvernement du Québec d'échapper au contrôle du syndicat financier». C'est cela, qu'il faut dire, parce que dans le temps de Je
an Lesage, avant la Caisse de dépôt, quand le gouvernement du Québec voulait adopter une politique sociale, il était obligé d'aller quêter sur la rue Saint-Jacques, auprès des grands financiers, et permettez-moi de vo
...[+++]us dire qu'ils ne parlaient pas français et qu'il n'avaient cure de l'avenir du Québec et des Québécois.